Le centre Suisse de Culture et Formation fait parler de lui dans la presse. Voici un extrait de ce que l’on pouvait lire dans les lignes du Migros magazine dans son Edition du 25 mai 2010. L’article traite de formation à distance et cite, à plusieurs reprises, Monsieur Urs Bucheli, directeur de Culture et Formation Suisse.
Etudiants à distance
Peu de temps, des obligations familiales, besoin de rebondir ou envie de se réorienter professionnellement: l’enseignement à distance se développe en Suisse. La formule est payante, à condition de se montrer discipliné et passionné. Témoignages.
On choisit ses vacances à distance, on achète sur internet, dès lors on se forme grâce au e-learning, c’est dans l’ordre des choses.» Urs Bucheli, directeur de Culture et Formation Suisse, a lancé en 2002 sa filière de formation pour les secrétaires médicales. S’inspirant d’une école française qui existe depuis vingt-cinq ans, il n’a pas hésité longtemps avant d’adopter la formule à distance: «C’est le futur». Etudier en solo, depuis chez soi, plutôt que sur les bancs d’école ou de l’université: la France connaît la formule depuis la Seconde Guerre mondiale avec son Centre national d’enseignement à distance (Cned). En Suisse romande, sur le plan universitaire du moins, la méthode s’est implantée il y a quinze ans seulement.
Une demande croissante
Si l’on ne connaît pas précisément le nombre de Suisses qui choisissent ce mode d’apprentissage, il semble faire toujours plus d’adeptes. «Nous comptons aujourd’hui 1000 étudiants en Suisse et la demande va croissant », estime Urs Bucheli. (…)
Des devoirs à envoyer régulièrement
L’avènement d’internet a donné des ailes à l’enseignement à distance, permettant aux étudiants de disposer des contenus et de rendre leurs travaux en trois clics de mulot. Car bien qu’électrons libres, ils doivent régulièrement envoyer des devoirs. De même, ils sont encadrés par un tuteur, qui assure un suivi personnalisé, via le net ou le téléphone. Des rencontres «réelles» sont aussi organisées. Car étudier en solo exige motivation, autonomie et autodiscipline. Pas toujours facile. Les abandons ne sont pas rares.
«Depuis qu’une assistante personnelle contacte les élèves chaque mois pour voir où ils en sont, le nombre d’étudiants terminant leur formation en secrétariat médical a triplé», se réjouit Urs Bucheli qui compte parmi sa clientèle plusieurs jeunes candidats. «Il faut de la persévérance et du soutien de la part du conjoint et de la famille. (…) »
Source : Extrait du Migros Magazine 21, 25 mai 2010 p.16 et 19.
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